Masturbation philosophique
Je pense que ce sera ma rubrique phare, j'essaierai chaque jour de poster ici un truc souvent inutil mais toujours intéressant.
Je tiens au passage à rappeler à l'assistance que ce blog est non-croyant, et on va démarrer ce post par une citation qui me plait beaucoup, "chaque acte de la vie se résume à une partie de tennis dans laquelle il arrive un moment où la balle touche le haut du filet, et parfois elle passe le filet, et on gagne, mais parfois elle ne passe pas le filet, et on perd"
Cette citation démontre l'importance du hasard dans chacunes de nos vies.
Si on part donc du principe que ce n'est pas un vieillard qui a crée le monde avec de la pâte à modéler, il résulte donc d'un nombre incalculables de hasards, coups de chances et autres. La probabilité que tous les éléments nécéssaires à créer et à qui plus est, développer la vie est donc infime, voir quasi nulle.
Donc beaucoup peuvent penser, que si la vie s'est développé sur notre planéte, il est fort probable qu'elle ait pu se développer sur d'autres planétes lointaines.
Mais étant donné la probabilité extraordinairement minime que les conditions pour la vie soient réunies , si nous détruisons la vie sur notre belle planéte, il est aussi fortement probable qu'il n'existe plus de vie nulle part dans l'univers car ce magnifique enchaînement de hasards ne se reproduira peut-être plus jamais.
à méditer.
Je tiens au passage à rappeler à l'assistance que ce blog est non-croyant, et on va démarrer ce post par une citation qui me plait beaucoup, "chaque acte de la vie se résume à une partie de tennis dans laquelle il arrive un moment où la balle touche le haut du filet, et parfois elle passe le filet, et on gagne, mais parfois elle ne passe pas le filet, et on perd"
Cette citation démontre l'importance du hasard dans chacunes de nos vies.
Si on part donc du principe que ce n'est pas un vieillard qui a crée le monde avec de la pâte à modéler, il résulte donc d'un nombre incalculables de hasards, coups de chances et autres. La probabilité que tous les éléments nécéssaires à créer et à qui plus est, développer la vie est donc infime, voir quasi nulle.
Donc beaucoup peuvent penser, que si la vie s'est développé sur notre planéte, il est fort probable qu'elle ait pu se développer sur d'autres planétes lointaines.
Mais étant donné la probabilité extraordinairement minime que les conditions pour la vie soient réunies , si nous détruisons la vie sur notre belle planéte, il est aussi fortement probable qu'il n'existe plus de vie nulle part dans l'univers car ce magnifique enchaînement de hasards ne se reproduira peut-être plus jamais.
à méditer.
publié par Koma à
15:49
5 commentaires:
Oh putain !
J'vais te chier un truc en rentrant...
QUE LA PHILOSOPHIE TRIOMPHE !
et non : que la phylosophie triomphe... analphabête (ahah).
Par
B. & A., À
8 août 2007 à 18:27
Et la définition du hasard dans tout ça ? ^^
Quand la balle touche le haut du filet, en fonction de la zone exacte touchée de la balle, de l'humidité, de la pression exercée sur le filet, des frottements de l'air, de l'orientation du vent, etc... elle tombera d'un côté ou de l'autre... Si la mesure de tous ces paramètres était possible, on saurait si la balle tombe d'un côté ou de l'autre. Cela annihile la dimension du hasard...
Au même titre que ce n'est pas Grand-Barbu-Pervers ou Hasard... contredire l'existence de l'un ne veut pas dire se remettre à l'existence de l'autre.
Nous détruisons la vie sur cette planète. Et quand bien même nous ne nous y mettrions pas de nous même, cette destruction se ferait naturellement...
Et puis, sur un espace jugé infini, la chance a beau être infime, même avec le hasard, elle ne peut que tendre à se reproduire...
Mais je vais continuer à méditer, au cas où par hasard j'aurais une meilleure réflexion à fournir... ;)
Par
MindWideShut, À
9 août 2007 à 00:53
Pour être honnête, les deux versions me séduisent, malgré la dimension mathématique de la chose.
On aime le hasard ou le calcul, et pour être franc, de nombreux philosophes s'y sont risqués, en s'y mordant les phalanges, et c'est pourquoi je ne m'y risquerai pas.
Difficile en effet de nommer cette chose, même si je demeure anti-hasard. Parce que c'est trop hasardeux ! Bref. Cependant, quand on y repense, ton dernier paragraphe émet un gros doute. Non, j'ai encore besoin d'hyberbolisme métodologique pour tout comprendre ! A bientot ^^
Par
B. & A., À
19 août 2007 à 14:24
La mort est hasard si on part du principe simple que lorsqu'on né, on ne peut mesurer notre date de mort...
Si calcul prédomine sur le hasard et qu'on insiste sur ce fait -tristement réel, mais constable- que tout est mesurable, mais qu'on ne dispose pas d'élèment suffisant capable de mesurer, alors, dans ce qui n'est pas mesurable par l'homme, machine ou autre, est hasard. Car inconnu.
Allé... Banco. Si je tire là, j'ai une probabilité de combien de mourir ?
Par
B. & A., À
22 août 2007 à 02:12
Pas encore... heureusement. (la mesure de la totalité des paramètres de la vie d'un individu)
Tu n'as pas de flingue, tu ne mourras pas Tuthur, ou si tu te fous en l'air, je brûle ton cadavre après l'avoir fait sodomisé par un Gaêlien... à qui je file ton matos de paint'.
Par
MindWideShut, À
25 août 2007 à 02:26
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