Remettre les choses à leur place !

Comme sans doute beaucoup d'entre vous le savent, parmi de nombreux américains et plus précisement parmi les républicains ( le parti de Bush. ) il existe un certain relan de haine envers les français alimenté par plusieurs évenements dans l'histoire comme la guerrre en Irak et le fait que nous n'ayions pas voulu en faire partie. Et comme a dit le brillant Bush "Partir à la guerre sans les français, c'est partir à la chasse sans clairon"

Dans cette vidéo, l'humouriste Bill Maher remet un peu les choses en place tout en se moquant de son pays et de l'administration Bush ;)

Bill Maher aime les Français
Vidéo envoyée par yom_

L'amour rhyme avec anus

On assiste depuis plusieurs années à une chose complètement commune : les cris d'amour. Mais pas n'importe lesquels puisqu'avant, on chantait tant la bohème amoureuse que l'amour dans son classicisme exacerbé. Aujourd'hui, enfant de la modernité, les femmes chantent au monde où l'homme serait un bout d'chou sucré, amoureux, tendre, fidèle, bestial et viril (poil au nombril) et les hommes chantent qu'ils sont bout d'chou sucré, amoureux, tendre, fidèle et le reste qui suit. De Diam's à Leslie en passant par M Pokora à Medhy Custos (vous allez m'accorder que cette musique n'en est pas une, mais ce sont eux qui sont le plus écoutés et diffusés par nos voies hertziennes).

Cependant, la crétinisation de masse nous fait entendre des sentences de cette trempe-ci : "les mecs tous des salauds!". Déjà, vous transgresser le métamodèle en employant une généralisation. La question à se poser est la suivante : "Tous les mecs ? Jamais un seul n'a été bien avec toi ?". Ensuite, une autre série de question : "Dis-tu cela après avoir été largué ? N'es-tu pas fautive un seul instand ?". C'est vrai que nous sommes le mal absolu et d'ailleurs, c'est vous qui vous nous le demandez. Un homme serviable, attentionné, amoureux et touti quenti, bizarrement, cela ne vous attire pas. Mesdemoiselles, vous aimez les salauds. C'est comme ça. Celles qui aiment les gens bien, sont seules. Vous aimez ceux qui ne vous regardent que pour vous attiser et vous délaissent complètement après, vous aimez les machos car vous pouvez le reprocher, vous aimez l'homme au sens bestial du terme, mais sans poils. Antipodique tout cela n'est-ce pas ?

Certes la séduction fonctionne sur le duo "attraction/répulsion", certes... Vous aimez l'extrême. Celui qui vous en fait le plus baver, vous l'adorez, vous l'adulez. Alors vous faites tout ce qui est en votre pouvoir pour l'avoir. Et vous l'avez. A quel prix ? Réputation, honneur de soi, etc. Vous vous rabaissez à la femme objet, mais avec du caractère (déformable à foison). Quand vous l'avez, vous vous livrez, vous ouvrez grand les vannes. Les vannes de l'amour. Lui, il n'a pas signé pour ça. Vous lui avez montré : "cherche homme pour la soirée" et il a signé pour ça. Signé pour le corps, le plaisir, pas pour votre tête, ou du moins, ce qu'il y a dedans. Vous commencez à lover (francisons un peu) grave votre race, alors que lui, il vous met grave votre race tout court. Et un jour, après un temps x, il vous quitte. Il ne vous a jamais dit qu'il vous aimait, mais vous le voyez dans ses yeux de lover... Il a pu être franc et vous dire qu'il n'avez pas signé le contrat intitulé "Amour", mais c'est pas grave. Vous vous contentez dans cet abîme de mensonge que vous créez vous même, pour deux. L'amour est un partage et vous êtes dans un aveuglement égoïste. Il vous quitte (de manière crade ou pas, ce n'est pas le but de ce message) et paf... c'est un salaud et tous les mecs sont des salauds. Et demain, vous êtes dans les bras d'un autre trouduc' sponso par Vaseline.

Quand vous y repensez, vous vous dîtes, il n'a peut-être pas tord partout, et il est quelquefois un peu excessif. Je vous dresse ce tableau pour vous dire : "il a raison, mais j'suis pas tout pareil". C'est pour vous déculpabiliser un peu et peut-être vous faire naître une forme de remise en question. Séduire et chercher un vrai mec qui est bon-cool-qui-m'aime-comme-je-suis, ce n'est pas la manière de séduire qui vous fera trouver "l'âme soeur", c'est l'attitude générale. Tant que votre mâle préféré n'aura pas déguerpi, vous vous enfermerez dans le modèle ci-dessus. Par la même occasion, si votre premier mec est un salaud et qu'il a constitué votre premier amour, vous avez une chance de vouloir retrouver ce genre de mec pour vous permettre de faire une transposition entre les deux : "Je l'aime, car il ressemble".


Je tiens à préciser que je ne fais pas de généralisation, et d'ailleurs, je ne m'adresse directement qu'à ces filles. Vous cherchez au mauvais endroit. Le bon endroit est d'abord dans votre coeur.
Vous êtes belle, mais meurtri. Réagissez.
Vous diabolisez les personnes qui ont de multiples conquêtes alors que vous en êtes les premières victimes...

Merci à Koma
Promis Kyouk, on ne dira rien.

Woodskill

Toutes les forêts nous attirent. Par peur ou par désir.

Inconsciement, cela nous rappelle nos histoires qui font peur, nos contes lorsqu'on était enfant. La forêt la nuit, seul, ça nous effraie. Dans une voiture, on se sent protégé, mais un meurtrier psychopathe peut toujours se cacher entre le siège conducteur et la banquette arrière. Elle nous rappelle toutes nos peurs, toutes les scènes classiques des films d'horreur.

C'est une peur universelle, comme le noir. Noir et forêt, un assemblage de toute beauté. Peur primaire bestiale.

Aimer la forêt de nuit, seul, est-ce aimer sa part d'ombre ou est-ce n'avoir aucune peur ?

Miss Univers

Une Japonaise de 20 ans, Riyo Mori, a été sacrée Miss Univers lors de l'édition 2007 du concours de beauté, lundi à Mexico. Riyo Mori, 1m79, a été préférée à la Brésilienne Natalia Guimaraes (22 ans) et à la Vénézuélienne Ly Jonaitis (21 ans), respectivement première et deuxième dauphines.

La Japonaise a reçu le traditionnel diadème orné de diamants et de perles, confectionné par son compatriote Kokichi Mikimoto.

Le comité d'organisation met à sa disposition pendant un an un appartement à New York. Elle recevra également un salaire -non communiqué-, une garde-robe complète, une montre de luxe et une bourse pour deux années d'études dans l'Académie de cinéma de New York.

"Je suis vraiment heureuse, j'ai du mal à réaliser", a-t-elle déclaré à la presse.

Elle succède à la Portoricaine Zuleyka Rivera, qui lui a remis le diadème.

Emue aux larmes, Riyo Mori devient la seconde Japonaise à être élue Miss Univers, après Akiko Kojima en 1959. Elle envisage d'ouvrir une école de danse à Tokyo quand elle rendra son diadème, en 2008, suivant les pas de sa mère qui dirige une académie de danse près de Tokyo.


Inclinez vous, et demandez pardon, vous, être insignifiant. Voilà l'excellence, la perfection, ce que la nature, l'être que l'on surnomme le superieur, à fait de mieux en ce bas monde.

Caturday

And It is written that saturday shall be now Caturday !

Hyste... quoi ?

Quoi !? Hysteria Passive ? Mais c'est quoi, je, tu, qui, pour, elle, quand et comment ?
Ce blog a souffert de nombreux flottements afin de trouver réellement les éléments moteurs pour le faire avancer.

J'ai été surpris de ce titre : Hysteria passive. A sa création, le blog devait s'appelait " Mort né ", grâce à la pointe d'ironie komassienne : " Quoi ? Ce blog mort né ? ". Certes, le jeu de mot sur le nez et la naissance était de mauvaise qualité, mais aujourd'hui, le blog s'appelera Hysteria Passive - et je pense que vous l'aurez compris -.

Attention, ne vous méprenez pas sur les origines de ce mot. Loin d'être une affaire d'uterus, c'est un consensus d'homme et dans une hypothétique dimension pathologique (nous ne sommes pas malade... Quoi qu'un malade ne le reconnaît jamais, mais si un malade ne reconnaît jamais sa maladie, il n'est pas malade. Et un malade pas malade nommé malade par les autres, n'est pas malade pour lui, donc ne devrait pas être malade pour les autres... j'en sors pas là). Reprennons : Hysterie, modernisme, masculin... A rendre fou - ou con -, ça ne semble pas clair pour les personnes n'ayant pas obtennu un master en phsychologie (et nous sommes beaucoup dans ce cas).

Retour en arrière, musique de flashback, son du kinetographe, noir et blanc, le décors est planté. L'hysterie a été observé sur cette douce femme qu'était Sisi.
Oui Oui (aaarg), vous ne vous trompez pas. Elle portait toujours des gants, ne souhaitant souffrir d'aucuns contacts charnels avec ses délicates mains. L'hystérie est tout d'abord expliquée par cette sentence : " ne me touchez pas ". N'étant pas spécialiste en la matière, je ne pourrais vous décrire les symptômes (et si quelqu'un souhaite en faire pars, c'est avec grand plaisir que j'apprendrais, ainsi que la multitude, la centaine... la dixaine... ... de lecteurs). Il faut savoir qu'hysterie vient d' " hysterus ", qui donnera naissance à " uterus ". Mot pour mot : hysterie : maladie de l'uterus (exclusivement féminin). Je vois déjà les féministes mangeuses d'hommes brandir leurs bannières et sortant les couteaux de guerre. C'était à l'époque - peace les filles -, et quelques millénaires plus tard, nous découvrâmes que l'homme était en proie à l'hysterie - hein hein, vous avez vu... -. Merci Maître Capello pour ce moment linguistique. Soit. Freud est le théoricien de cette pathologie comme " pathologie " en soi. Donc, observable sur tous (et non pas observable dans toutes les sociétés, sinon c'est un " fait social " ... Merci Durkheim pour cette seconde sociale).

Nous retournons aux couleurs, à la télévision numérique et aux femmes à poil pour des publicités pour la lessive. Merci le progrès, grâce à vous, la masturbation devient facile.
Hysteria Passive, c'est une bande d'amis qui ne souhaite, ni plus ni moins, vous faire découvrir leur face cachée, leur lune... Sachant que notre vie est une hysterie continuelle, mais d'embrassade, d'accolade, de libertinage (quoi que je ne prête pas, je touche, mais ne prête pas), de coups de gueule, cassure, faillure, et que notre poid dans ce monde n'est réduit qu'au pouvoir d'un grain de sable ou d'une sole, notre hysterie est passive. Nous la regardons naître, faire, défaire sans palliatifs, afin de vous faire partager notre pathologie - qui n'en n'est pas une -.

Qu'est-ce tu fais toi, ne m'touche pas !
Jesus de Nazareth